Thérapie brève :

Les Voyages de Gulliver et la peur à être

Quand Gulliver le marin (Les voyages de Gulliver, de Jonathan Swift) alla visiter Lilliput, le pays des petits hommes, il se retrouva, ligoté, un matin, au réveil. Les Lilliputiens avaient attaché ses bras, ses jambes, son corps, avec des liens fins comme des cheveux mais qui le maintenaient très fortement. L’être humain est ainsi relié à son passé par des liens invisibles et les thérapies brèves ont pour fonction de couper ce qui est toxique dans ces liens et de libérer la personne.

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Constellations familiales et systémiques – Psychophanie – Art thérapie

Denise Rakovsky & Laurent Rodriguez vous accompagnent – Thérapeutes sur Paris & Boulogne-Billancourt.

Thérapie brève : Les Voyages de Gulliver chez les Ancêtres

D’abord, il y a la mémoire des ancêtres, de ceux qui ont souffert et qui transmettent cette souffrance non dite aux descendants. Par exemple, la peur: Il arrive qu’un descendant puisse avoir « peur de peur » sans savoir pourquoi, une peur chevillée au corps et qui reste à l’état d’angoisse, ce n’est pas dit, pas crédible, bizarre.
Les ancêtres qui ont vécu des guerres, des assassinats, des situations difficiles et qui n’ont pas pu exprimer leur douleur donnent parfois à leurs petits-enfants et arrières-arrières-petits-enfants la tâche de porter témoignage et de dire.
Par une constellation familiale, une psychophanie ou un tirage de tarot, on peut éclairer cette peur, la conscientiser et ainsi le lien entre la personne et ses descendants est distendu et le présent libéré.

Thérapie brève : Les Voyages de Gulliver autour de la naissance

On peut dire également qu’il y a dans la thérapie brève un regard sur la gestation, ce passage dans le ventre de la mère, cette communication non- verbale entre la mère et l’enfant qui laisse des traces, des blessures dans le corps de l’enfant, dans sa psyché.
Le dessin énergétique, l’art-thérapie ou le tarot, thérapies brèves ont pour tâche de permettre l’expression de ce passage et coupent le lien toxique qui a relié mère et enfant. Le lien d’amour perdure et en sort renforcé.

La naissance, cette expérience inouïe, subsiste dans le corps mais aussi dans l’esprit et dans l’émotionnel. Il suffit que pendant le trajet vers la lumière l’enfant soit retenu par un cordon autour du cou ou qu’il ait ressenti trop brutalement les contractions pour qu’il se sente abandonné, qu’il croie qu’il ne va pas y arriver.

Et chaque fois qu’un changement se produira dans la vie de la personne, qu’elle percevra une vibration différente du quotidien, l’enfant ou l’adulte ressentira cette même impression de ne pas y arriver ou d’être abandonné.
Une ou plusieurs séances de thérapies brèves permettront de mettre de la lumière sur ce ressenti, sur ces croyances afin de venir à bout de la souffrance. Chaque trauma a des racines et le thérapeute va chercher l’origine, la source de cette souffrance pour la déraciner.

Tout ce qui s’est passé dans l’inconscient des parents à la venue au monde de l’enfant marque également la personne et doit être vu, revécu et entendu.

Thérapie brève : Gulliver chez le thérapeute

Tout être a besoin de la capacité du thérapeute, témoin, celui qui écoute, qui entend, pour continuer sa route. A notre époque si riche en media et communication, cette présence humaine, cette écoute sont vraiment nécessaires pour venir à bout des ombres, des liens invisibles qui ligotent et manipulent .
Dans le noir, dans la confusion, les ombres nous terrorisent mais il suffit d’éclairer la pièce et les ombres disparaissent, les monstres de la nuit s’effacent.

Lien après lien, le thérapeute dénoue, délie, détache. Et Gulliver se relève, délivré. Il va pouvoir expliquer aux Lilliputiens qu’il n’est pas dangereux, qu’il est leur ami et tous vont pouvoir danser et chanter encemble.
Nous avons tous droit à la joie.